Le Pasteur Moïse Mbiye a tenu à réagir à toutes les rumeurs et accusations qui sont véhiculées autour de sa personne. La première partie de sa prédication de ce dimanche 12 janvier était consacrée sa réaction à toutes ces polémiques.
Le Pasteur-chantre a expliqué aux fidèles de son église que les bruits qui courent sont les fruits d'un complot monté contre lui par des individus dont l’unique but est de nuire à la réputation des serviteurs de Dieu Congolais. Il affirme que ces laboratoires de nuisances payent beaucoup d'argent à des personnes pour qu'elles fassent des faux témoignages au sujet des hommes de Dieu. « Ils ont même envoyés des femmes faire des scandales dans mon bureau […] au point que je me suis vu obligé de faire installer des caméras de surveillance dans mon propre bureau », argue-t-il d'un ton assez remonté.
À propos des rumeurs sur son mariage, Moïse Mbiye rappelle qu’il aurait dû se marier depuis 2012, il ne lui restait plus que le mariage religieux. S’il est encore célibataire jusqu’aujourd’hui, c’est conformément aux directives divines. « J’ai pensé au mariage avant tous ces gens qui font du bruit aujourd’hui. Dieu m’a arrêté net et il m’a dit d’attendre son temps » raconte-t-il, tout en avouant qu’il souffre beaucoup lorsqu’il voit des gens faire de son célibat l’objet de leurs ministères.
Il explique qu’en tant que serviteur de Dieu, il évolue au rythme de Dieu. « J’avais 6 mois lorsque j’ai été consacré à Dieu. Je ne connais pas le goût de l’alcool, je ne fréquente pas les boites de nuits, j’ai consacré toute ma vie au service divin ». Un peu comme pour dire à ceux qui l’accusent de compromission qu’il est entièrement dans la volonté divine. Et à lui d’avertir, « je ne tomberais que le jour où Dieu va me lâcher ».
À ceux qui passent leur temps à parler de lui, il rappelle que sa plus grande fierté, c’est d’en être où il est sans avoir eu besoin de détruire qui que ce soit. « Ma plus grande fierté, je le dis pour que le Congo m’écoute, c’est que je n’ai détruit personne pour devenir le Moïse Mbiye que je suis aujourd’hui ».